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| Les Inuits | |
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Nénakohe administrateur
Nombre de messages : 2185 Age : 54 Localisation : Lot Loisirs : moto, country music, les amerindiens , les animaux, le dessin Date d'inscription : 17/04/2007
| Sujet: Les Inuits Lun 23 Avr - 11:51 | |
| Qui sont les Inuits? Les Inuit sont les habitants autochtones de la région arctique de l'Amérique du Nord, du détroit de Béring à l'est du Groenland, ce qui représente plus 6000 kilomètres. Les Inuits, qui occupent le Canada arctique, vivent également dans le nord de l'Alaska et au Groenland et comptent de proches parents en Russie. Ils sont unis par un patrimoine culturel et une langue communs. Jusqu'à récemment les non-Inuits les appelaient « Esquimaux ». Aujourd'hui, ils prèfèrent leur propre terme « Inuit », qui signifie tout simplement « les gens ». Il y a environ 40 000 Inuits au Canada. Les origines des Inuits Si l'on en croit les recherches archéologiques, c'est dans le nord-ouest de l'Alaska qu'il faut rechercher les origines des Inuits. Ces premiers Inuits de l'Alaska habitaient la côte et la toundra, où ils chassaient le phoque, le morse, la baleine et le caribou. Ils logaient dans des maisons édifiées avec du bois de grève et de la terre, et ils parlaient presque certainement une version primitive de la langue inuite, l'inuktitut. Ils furent, ainsi que leurs ancêtres, le premier peuple arctique a acquérir la maîtrise de la chasse aux grands mammifères marins, notamment la baleine boréale. L'énorme quantité de nourriture que rapportait une chasse fructueuse - même une petite baleine pouvait peser sept tonnes - leur permettait d'avoir un mode de vie plus riche et moins précaire que celui de beaucoup d'autres peuples de chasseurs.
Les Inuits se déplacent vers l'est Il y a environ mille ans, ces premiers Inuits ont commencé à se déplacer vers l'est jusque dans l'Arctique canadien. Au bout de quelques centaines d'années, ils y avaient remplacé les habitants primitifs de la région, un peuple maintenant disparu que les Inuits appelaient les Tunits. Ce ne fut pas là une immigration massive qui se fit en une seule fois, mais elle fut probablement le fait de douzaines de petits groupes comportant peut-être 20 ou 30 personnes se rendant dans l'est dans l'espoir d'y trouver une vie plus facile. Un de leurs objectifs particuliers semble avoir été les zones riches en baleines autour de l'île de Baffin et de l'île Somerset. Là, ils ne tardèrent pas à édifier les mêmes grands villages de chasse à la baleine et à reprendre le même mode de vie prospère qu'ils avaient laissé derrière eux en Alaska. D'autres groupes s'installèrent sur des portions de côte dépourvus de riches ressources baleinières, où ils habitaient des villages plus petits et dépendaient principalement du phoque, du caribou et du poisson pour leur subistance. Partout où ils allaient, les pionniers inuits construisaient les mêmes maisons d'hiver en terre et apportaient avec eux la complexe technique de chasse de leurs ancêtres d'Alaska.
Les Inuits et les Vikings Vers 1250 apr. J.-C., les premiers Inuits avaient pénétré au Groenland par le détroit de Smith, à l'extrémité du nord-ouest de l'île. Là, peut-être du côté canadien, ils ont rencontré ces chasseurs que le Moyen Âge appelait Normands (« les Vikings »), qui arrivaient de colonies vikings situées dans le sud-ouest du Groenland et fondées par Erik le Rouge. Ces colonies finirent par disparaître probablement au milieu du XVe siècle. Différentes théories expliquent leur disparition, mais l'une des raisons fut la détérioration du climat. Un autre facteur a pu être la concurrence avec les Inuits, qui étaient beaucoup mieux adaptés à la vie arctique que les Vikings. À l'époque où les Européens explorèrent le Groenland, au XVIe siècle, les Inuits étaient les seuls habitants de tout l'Arctique nord-américain. Un climat plus froid Le même climat de plus en plus rigoureux qui sonna le glas des colonies vikings du Groenland eut également des répercussions néfastes sur l'économie inuite. Après 1300 environ, les températures devinrent progressivement plus froides, aboutissant à une sorte de petite ère glaciaire autour de 1500. Les zones importantes et riches de chasse à la baleine de l'Extrême-Arctique furent abandonnées, et les gens se déplacèrent vers le sud. La chasse à la baleine boréale ne constitua plus le pôle central de la vie des Inuits dans la plus grande partie du Canada et du Groenland (mais le resta en Alaska). La vie devint généralement plus difficle et précaire. Les gens déplaçaient camps et villages plus souvent, et dans de nombreux secteurs on abandonna la maison d'hiver en terre et en os de baleine en faveur de maisons faites de blocs de neige. Elles étaient plus faciles à construire et on pouvait les ériger n'importe où, même sur la glace de mer. De plus, une heure ou deux suffisaient à les construire. Contacts avec les explorateurs Les contacts avec les explorateurs Européens apportèrent également des changements. Entre les voyages de Martin Frobisher, dans les années 1570, et les recherches pour retrouver l'expédition Franklin disparue dans les années 1850, des dizaines d'expéditions vers l'Arctique furent organisées, habituellement à partir de l'Angleterre. La plupart d'entre elles avaient pour but de trouver une passage par le nord-ouest entre l'Atlantique et le Pacifique. Tout d'abord, les Européens ne virent pas dans l'Arctique un endroit ayant une valeur intrinsèque, mais seulement un obstacle aux richesses se trouvant au-delà. Au cours de leurs voyages à travers le nord, les explorateurs européens rencontraient souvent des Inuits. Peu d'Européens avaient l'esprit suffisemment dépourvu de préjugés pour croire qu'ils pouvaient apprendre quelque chose de ces derniers, mais ils faisaient du commerce avec eux et échangaient des cadeaux. Les Inuits commencèrent à connaître le monde extérieur et à apprécier ce qu'il avait à offrir. Les Européens leur apportaient du fer, qu'ils prisaient pour la fabrication d'outils tels que des pointes de harpon et des lames de couteau.
Les chasseurs de baleine Dans les années 1850, les Européens et les Américains commencèrent à apprécier la valeur commerciale des ressources fauniques de l'Arctique. L'industrie de la chasse à la baleine commerciale dans l'Atlantique nord, qui était basée en Grande-Bretagne et en Nouvelle-Angleterre, se lança dans une exploitation à grande échelle dans des eaux qui sont maintenant canadiennes, où des milliers de baleines furent tuées. Cette industrie embaucha des centaines d'Inuits pour travailler sur ses bateaux comme chasseurs et couturiers. Un large éventail et d'énormes quantités de biens manufacturés pénétrèrent la société inuite, des fusils et de la toile de tente aux baleinières en passant par la farine. À la même époque, les chasseurs de baleine du Pacifique, basés à San Francisco, étendirent leurs activités vers le nord à travers le détroit de Béring, puis vers l'est le long de la côte de l'Alaska et du Mackenzie. En 1890, ils étaient établis sur l'île Herschel. À cause des distances beaucoup plus grandes qu'ils devaient parcourir, les chasseurs de baleine prirent l'habitude de s'y installer pour l'hiver. Les équipages de jusqu'à 15 bateaux en une même saison se mêlèrent à la vie des Inuits. Maladies En plus des biens manufacturés, les chasseurs de baleines apportaient avec eux des maladies contagieuses. Les Inuits ne possédaient aucune immunité naturelle pouvant les protéger de ces maladies, et des centaines, voire des milliers d'entre eux, moururent. La population inuite de l'ouest de l'Arctique canadien (les Inuvialuits) est passée d'environ 2000 à 2500 personnes en 1850 à 150 personnes en 1910. Dans l'est, les effets de la maladie furent plus sporadiques. Un groupe local, les Sadlirmiuts de l'île Southampton disparurent entièrement au cours de l'hiver 1902-1903. Ils attrapèrent la dysenterie, une maladie grave, des marins de l'Active, un baleinier écossais.
La Compagnie de la Baie d'Hudson, la police et l'Église En 1905, l'industrie baleinière était moribonde, car les stocks de baleines avaient presque complètement disparu de l'Arctique. De plus, de nouvelles inventions, par exemple un substitut synthétique du fanon de baleine, obligea les chasseurs de baleine à se tourner vers d'autres activités, dont la traite des fourrures, pour assurer leur subsistance. La Compagnie de la Baie d'Hudson et d'autres entreprises commerciales commencèrent également à s'intéresser sérieusement à la traite des fourrures dans le Nord. Au cours des dix années qui suivirent la Première Guerre mondiale (1914-1918), la traite commerciale des fourrures se déplaça plus au nord jusqu'à englober tout l'Arctique. La traite des fourrures amena dans son sillage la Gendarmerie royale et les Églises anglicane et catholique romaine. En 1925, les Inuits étaient devenus des sujets, sinon tout à fait des citoyens de l'État canadien. Sous l'influence des missionnaires, beaucoup de croyances traditionnelles et de coutumes inuites disparurent ou furent conservées sous le manteau. Les Inuits perdirent tout pouvoir sur leurs propres vies au début du XXe siècle. Beaucoup tombèrent dans une extrême misère à cause de la fluctuation du prix des fourrures, qui était fixé dans des endroits aussi éloignés que Londres ou New York.
Réinstallation Ce n'est qu'après la Deuxième Guerre mondiale (1939-45) que le gouvernement canadien commença à s'intéresser activement au bien-être des Inuits. Après que lui soient parvenus des rapports où il était question de misère généralisée et même de famine, le gouvernement commença à inciter fortement les gens à quitter leur mode de vie nomade et d'errance. Ils encouragèrent la vie dans des villages permanents parce que cela semblait faciliter l'administration de la sécurité sociale et en amoindrir le coût. Les services et les installations gouvernementales prirent beaucoup plus d'ampleur dans ces nouveaux villages. On fournit des habitations à bon marché, et on construisit des écoles, des installations médicales, des aéroports et des commerces modernes. Des nouvelles communautés « micro-urbaines » virent le jour. Une population autrefois chichement éparpillée à travers un immense territoire était maintenant concentrée dans une petit nombre de villages. Vers le milieu des années 1960, presque tous les Inuits du Canada habitaient dans ces nouvelles localités. C'était loin d'être une solution idéale. Ne vivant plus en pleine nature, les Inuits en vinrent à dépendre de plus en plus de l'aide sociale. Les emplois étaient peu nombreux. Les Inuits devinrent presque totalement dépendants de la société extérieure.
L'Arctique et la démocratie La démocratie a mis du temps à pénétrer dans l'Arctique. À partir de 1966, le gouvernement fédéral créa des circonscriptions électorales dans certaines parties des Territoires du Nord-Ouest. En 1967, un Commissaire des Territoires du Nord-Ouest fut nommé et de nombreux programmes fédéraux furent confiés au nouveau gouvernement territorial. À la fin des années 1970, le gouvernement territorial était devenu un corps élu et représentatif. La création du Nunavut Le combat des Inuits pour obtenir l'autonomie gouvernementale date au moins des années 1960, lorsque des « Eskimo Co-ops » furent établies dans la plupart des localités de l'Arctique. Ces coopératives ont aidé les Inuits à conserver le contrôle de la vente de leurs œuvres d'art. Elles ont également fait concurrence à la Compagnie de la Baie d'Hudson, ce qui a contribué à faire monter le prix des fourrures et baisser celui des marchandises. En 1971, les Inuits firent un pas important vers l'autonomie gouvernementale avec la création de l'Inuit Brotherhood, l'actuel Inuit Tapirisat du Canada. En 1976, les Inuits proposèrent la création d'un nouveau territoire qui s'appellerait le Nunavut (« notre terre »). Le nouveau territoire du Nunavut serait constitué de la portion centrale et orientale des Territoires du Nord-Ouest et serait peuplé en majorité d'Inuits. Cette proposition comportait en outre une revendication territoriale globale. En 1982, on approuvait dans un référendum le règlement proposé pour le Nunavut, et en 1992 une entente de principe recueillait 85 % des voix des électeurs inuits. En mai 1993, l'Accord définitif du Nunavut était signé. Le nouveau territoire du Nunavut fut inauguré le 1er avril 1999. D'autres voies vers l'autonomie gouvernementale Les Inuits qui habitent hors du Nunavut ont choisi des voies politiques différentes. Les Inuvialuits, un peuple qui vit le long de la côte de l'Arctique dans l'ouest des Territoires du Nord-Ouest, se sentent depuis longtemps différents des Inuits de l'est de l'Arctique. Ils avaient accès aux riches réserves de pétrole et de gaz de la mer de Beaufort. Ils souhaitaient négocier leur propre entente territoriale, et c'est ce qu'ils ont fait par le biais du Comité d'étude des droits des autochtones (CEDA). En 1984, ils signaient la Convention définitive des Inuivialuit avec le gouvernement fédéral et celui du territoire. Ils ont créé la Région désignée des Inunivaluit, qui comprend la majeure partie de l'Arctique occidental. Plus tôt, en 1975, la Société des Inuit du Nord québécois, aujourd'hui la Société Makivik, a signé la Convention de la Baie James et du Nord québécois établissant les droits de propriété territoriaux des Inuits et d'autres droits dans le Nouveau-Québec. Les ententes du Nouveau-Québec et des Inuvialuits sont toutes deux uniquement des ententes territoriales globales. Elles ne sont pas aussi étendues ni aussi globales que l'entente territoriale du Nunavut, qui prévoit l'établissement d'un gouvernement public et territorial.
L'avenir En ce début du XXIe siècle, les Inuits du Canada ont remporté des victoires politiques importantes. Ils possèdent maintenant collectivement une bonne partie de l'Arctique et jouissent d'un pouvoir politique considérable au sein de leurs territoires. La création du Nunavut, tout particulièrement, met en lumière le rôle important que les Inuits jouent maintenant au Canada. Toutefois, il existe encore certains problèmes fondamentaux. L'Arctique est encore sous-développé sur le plan économique. Il y encore peu d'emplois et ce sont souvent des postes subalternes. Peu de gens ont le niveau d'instruction ou les compétences nécessaires pour l'économie mondiale hautement technique d'aujourd'hui. Beaucoup espèrent en une industrie touristique florissante pour apporter la prospérité, mais ce n'est là qu'une solution partielle. L'exploitation des mines et d'autres formes d'extraction des ressources sont des secteurs de l'économie en pleine croissance, tout particulièrement maintenant que des ententes territoriales ont été signées. Dans le territoire inuvialuit, l'exploitation des réserves de gaz de la mer de Beaufort et un projet de pipeline dans l'ouest pourrraient contribuer à stimuler la croissance économique. Dans le Nunavut, les mines de diamant, d'or et de métaux lourds offrent des possibilités d'emplois et des revenus. Toutefois, comme beaucoup s'en rendent compte, une économie basée sur les matières premières est extrêmement vulnérable aux fluctations de prix et aux problèmes environnementaux, notamment la polution causée par les métaux lourds (due à l'exploitation minière), et aux destructions de l'environnement causées par la construction des routes et des pipelines. Heureusement, la population inuite est jeune et dynamique, et depuis des générations elle s'obstine à vaincre des obstacles insurmontables. Le but des Inuits est de préserver l'essentiel de leur culture et de s'assurer, ainsi qu'à leurs enfants, un niveau de vie décent. Leur histoire, qui témoigne de leur force et de leur désir de survivre, laisse présager qu'ils réussiront. | |
| | | VIE TA VIE Ehane
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| | | | VIE TA VIE Ehane
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| Sujet: Re: Les Inuits Jeu 26 Avr - 23:29 | |
| ben pourquoi elle s affiche pon | |
| | | Nénakohe administrateur
Nombre de messages : 2185 Age : 54 Localisation : Lot Loisirs : moto, country music, les amerindiens , les animaux, le dessin Date d'inscription : 17/04/2007
| Sujet: Re: Les Inuits Jeu 26 Avr - 23:31 | |
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| | | VIE TA VIE Ehane
Nombre de messages : 953 Age : 64 Localisation : audresselles calais Loisirs : nature tofs moto Date d'inscription : 26/04/2007
| Sujet: Re: Les Inuits Jeu 26 Avr - 23:32 | |
| - Nénakohe a écrit:
- jte fais un tuto
yo | |
| | | Nénakohe administrateur
Nombre de messages : 2185 Age : 54 Localisation : Lot Loisirs : moto, country music, les amerindiens , les animaux, le dessin Date d'inscription : 17/04/2007
| Sujet: Re: Les Inuits Jeu 27 Nov - 0:14 | |
| Leurs Chiens J'aurai pu mettre ce texte sur les chiens Inuits dans la faune ou le coin de l'eleveur mais je pense qu'il à plus sa place ici hien du Groenland
ou Chien Esquimau du Groenland Groënlandais Grönlandshund Inuit Dog . HISTORIQUE Le Chien du Groënland est l'une des races les plus anciennes de la terre. Depuis les temps les plus anciens, il sert de chien de bât et de chasse aux Inuits. Le choix des sujets pour l'élevage dépendait surtout de qualités telles que la force, la solidité, la ténacité et l'endurance, mais on ne manquait pas de rechercher un aspect externe attrayant. De par sa nature robuste, le Chien du Groenland est spécialement adapté aux personnes qui désirent mener une vie dans la libre nature. Il est un excellent compagnon pour ceux qui veulent se promener dans les forêts et les montagnes, le chien portant ou tirant leur équipement. C'est l'explorateur Paul-Emile Victor qui nous fît connaître ce chien en 1936. Solitaire et indépendant, il fait un très mauvais gardien. Il peut cependant se montrer affectueux avec ses maîtres CARACTÈRE Les traits de caractère prédominants du chien du Groënland sont l'énergie, la ténacité et le courage. C'est un chien de traîneau passionné et infatigable. Il est amical envers les êtres humains, même envers les étrangers; quand il est employé comme chien de traîneau, il n'est pas attaché à une personne déterminée, raison pour laquelle il n'a pas les qualités requises pour fonctionner comme chien de garde. Son instinct de chasse est très développé envers le phoque et l'ours blanc. Durée moyenne de vie : 13 ans. ASPECT GENERAL Le chien du Groënland est un Spitz polaire très fort, bâti pour supporter le dur travail de chien de traîneau sous les conditions arctiques. Une certaine variabilité de taille est admise tant qu'elle ne porte pas préjudice aux moyens physiques et à l'harmonie du chien. Proportions importantes: Le corps est inscriptible dans un rectangle proche du carré, la hauteur au garrot se rapportant à la longueur du corps comme 10 à 11. Les femelles peuvent avoir un corps plus long. Taille : Mâles 60 cm et plus. Femelles 55 cm et plus. Poids : De 30 à 32 kg. ROBE Poil : Double avec sous-poil doux et épais et poil de couverture droit et rude, sans boucles ni ondulations. Le poil est plutôt court sur la tête et aux membres, plus long et plus abondant sur le corps et long à la face inférieure de la queue, qui a un aspect touffu. Couleur : Toutes les couleurs, unicolore ou multicolores, sont admises, sauf les albinos qui doivent être éliminés. TÊTE Crâne : Large et légèrement en dôme; c'est entre les oreilles qu'il est le plus large. Stop : Prononcé mais pas abrupt. Truffe : Grosse et de couleur foncée, correspondant à la couleur de la robe; elle est souvent de couleur foie chez les chiens à la robe de couleur rouge doré. Elle peut devenir de couleur chair en hiver (truffe de neige). Museau : En forme de coin, large à sa base et s'amenuisant vers le nez, jamais pointu. Le chanfrein est droit et large du stop à la truffe. Lèvres minces et tendues, bien appliquées sur la denture très puissante. Mâchoires solides avec des dents régulières, saines et fortes. Articulé en ciseaux. Yeux : De préférence foncés, mais ils peuvent correspondre à la couleur de la robe. Placés légèrement en oblique, ni proéminents ni trop enfoncés dans les orbites; Expression franche et confiante. Les bords des paupières sont bien adaptés au globe oculaire. Oreilles : Assez petites, triangulaires, avec l'extrémité arrondie, portées fermement dressées. Les pavillons sont très mobiles et éloquents par leur position. | |
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| Sujet: Re: Les Inuits | |
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