La mode aime la fourrure...
pas les especes protégées
Titre de la depêche du midiLe milieu de la mode détient entre ses mains le sort de nombreuses espèces rares. Le retour en grâce de la fourrure dans le création de mode a relancé le commerce illégal d'animaux tel
le Léopard, le Iigre ou l'Antilpe Tibétaine. Jonh Selard, spécialiste de la criminalité liée aux animaux sauvages, membre de la convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvage menacées d'extinction (
CITES), à constaté que le trafic de fourrure a diminué lorsque cette matière etait démodée, mais reprend depuis qu'on en voit de nouveau sur les podiums. "Malheureusement, la mode commaît des effets de cycle et la fourrure est de retour". L'Antilope Tibétaine
est une des premières victimes de ce commerce. Elle est trés prisée pour sa sous-couche de poils qui est d'une extrême finesse, d'une chaleur et d'une douceur trés recherchée. Mais il faut
tuer 3 Antilopes pour faire un châle d'un metre sur deux. Des châles ont d'ailleurs récemment été saisis lors d'une opération policière en Suisse, dans la station de ski huppée de St Moritz. Ils etaient vendus 15 000€ piece. Cependant mettre fin à ce trafic demeure une vraie difficulté car il génère de
gros profits pour une punition faible en cas d'arrestation. Les douanes ont des priorités et le trafic d'especes sauvages n'est qu'une de leurs préocupations, à côté de trafic des armes ou des êtres humains.