La protection des biotopes

La protection des biotopes implique:

1. de prendre toute mesure pour éviter de leur porter atteinte dans leur gestion.
2. de demander les autorisations au Centre de conservation de la faune et de la nature pour toute action qui risque de leur porter atteinte.
3. en cas d'atteinte:
- minimiser l'atteinte;
- justifier l'atteinte (autre intérêt);
- compenser l'atteinte (n'est pas valable pour les marais d'importance nationale).

Le Centre de conservation de la faune et de la nature fixe les conditions d'autorisation

Qu'est-ce qu'un biotope ?

"l'espace vital nécessaire à la flore et à la faune"

"les endroits propres aux diverses espèces indigènes, notam-
ment les haies vives, boqueteaux, buissons, rideaux de verdure, clairières, zones marécageuses et roselières".

"les rives, les roselières et les marais, les associations végétales forestières rares, les haies, les bosquets, les pelouses sèches et autres milieux qui jouent un rôle dans l'équilibre naturel ou présentent des conditions particulièrement favorables pour les biocénoses."

Conservation de la nature
Missions détaillées


Fixer des mesures de sauvegarde des espèces menacées de la flore, y compris les champignons.

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Mettre en œuvre les inventaires fédéraux 110 objets, dont en particulier les 3 plans d'affectation cantonaux des Grangettes, de la Vallée de Joux et du Col des Mosses - La Lécherette et 7 procédures de décision de classement.

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Encourager la compensation écologique et mettre en œuvre les dispositions Ecopac. Ecopac: prestations écologiques pour les sites et les biotopes d'importance nationale.

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Organiser efficacement les tâches administratives et de gestion des réserves naturelles.
Gérer les subventions fédérales globales pour la protection de la nature et du paysage Pour tous les services cantonaux, les collectivités publiques et les privés.

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Assurer le traitement de tous les projets de construction et d'aménagement du territoire

alors la vaste programme trop de fric en jeu

Au moins trois cadavres de sangliers ont été trouvés mercredi matin dans l'estuaire de la rivière Le Gouessant à Morieux (Côtes-d'Armor), où 28 autres sangliers ont trouvé la mort depuis début juillet.

Dix-huit sangliers avaient déjà été découverts mardi dans l'estuaire du Gouessant, qui débouche sur la plage Saint-Maurice, fermée au public pour cause d'algues vertes. Dix autres cadavres de sangliers avaient auparavant été trouvés sur cette même zone, en deux fois, depuis le début du mois de juillet.

De premières analyses de l'eau d'un barrage se trouvant à proximité ont montré mardi soir la présence d'un taux de "cyanobactérie (microcystis) qui se trouve au-dessus du seuil d?alerte mais en dessous du seuil de danger", selon la préfecture des Côtes-d'Armor.

Des mesures d'hydrogène sulfuré, un gaz toxique émis notamment lors de la putréfaction des algues vertes, ont par ailleurs été effectuées et les résultats seront publiés mercredi, selon la même source.

La découverte des sangliers morts a suscité l'inquiétude des élus locaux et ravivé les critiques des associations de défense de l'environnement qui dénoncent depuis des années l'effet néfaste des nitrates, qui favorisent la prolifération des algues vertes.


Quand allons-nous devenir raisonnable et arrêter l'élevage en batterie ainsi que les pesticides